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IL EST TEMPS POUR MOI DE RENCONTRER MON ENFANT INTÉRIEUR.

Photo du rédacteur: Alain SUPPINIAlain SUPPINI

GUÉRIR SON ENFANT INTÉRIEUR POUR DEVENIR UN ADULTE RAYONNANT.

Le concept de "l'enfant intérieur" trouve son origine dans la thérapie jungienne. Carl Jung a proposé que "l'archétype de l'enfant" soit la première étape du processus d'individuation, la formation du Soi.

Aujourd'hui, le travail de l'enfant intérieur est une idée bien connue dans de nombreuses écoles de thérapie, telles que l'Analyse Transactionnelle [1].

Travailler avec votre enfant intérieur s'appuie sur une observation simple: tous les adultes ont été des enfants à un moment donné, et ces enfants en nous ne disparaissent pas simplement à mesure que nous vieillissons.

Votre moi d'enfant reste avec vous en tant que partie de votre inconscient, une forme de "sous-personnalité" qui représenterait les qualités et les manières d'être, imprimées dans votre enfance.

L'enfant intérieur est souvent activé lorsque vous êtes confronté à des défis qui vous rappellent un souvenir d'enfance traumatisant. Jusqu'à ce que vous traitiez et intégriez consciemment ces souvenirs, c'est votre enfant qui prend le dessus.

Selon les thérapeutes et psychiatres du Harley Therapy de Londres [2], "l'enfant intérieur reflète l'enfant que nous étions autrefois dans ses aspects négatifs et positifs. Nos besoins non satisfaits et nos émotions d'enfance refoulées, ainsi que notre innocence, notre créativité et notre joie enfantines, attendent toujours en nous."

En chacun de nous, il y a donc un jeune enfant qui souffre. Nous avons tous eu des moments difficiles dans notre enfance et beaucoup d'entre nous ont vécu des traumatismes. Pour nous protéger et nous défendre contre les souffrances futures, nous essayons souvent d'oublier ces moments douloureux. Chaque fois que nous sommes en contact avec l'expérience de la souffrance, nous croyons que nous ne pouvons pas la supporter, et nous enfouissons nos sentiments et nos souvenirs au plus profond de notre inconscient. Il se peut même que nous n'ayons pas osé affronter cet enfant depuis de nombreuses années.

Mais ce n'est pas parce que nous avons ignoré l'enfant qu'il n'est pas là. L'enfant blessé est toujours présent, essayant d'attirer notre attention: je suis là, tu ne peux pas m'éviter, tu ne peux pas me fuir! Et plus nous cherchons à mettre fin à nos souffrances, en refoulant l'enfant dans notre intérieur le plus lointain et profond, plus ces souffrances, loin de s'apaiser, nous reviennent en force.

L'enfant blessé demande des soins et de l'amour, mais nous faisons le contraire. Même si nous en avons le temps, par une peur grandissante d'affronter la douleur et de chagrin, nous rentrons de moins en moins en nous. Au contraire, nous essayons de les chasser, et la télévision, les films, les soirées entre copains, l'alcool ou même la drogue, deviennent les indispensables "alliés" pour tenter de ne plus revivre cette souffrance.

Pourtant, l'enfant blessé est toujours là et, chose extraordinaire, plus nous l'évitons inconsciemment, moins nous avons conscience de cette présence. Cet enfant a été grièvement blessé, il aurait vraiment besoin que nous revenions, au lieu de cela, nous nous détournons. En clair, plus nous mettrons de barrières avec cet être intérieur, moins nous aurons de chance de le reconnaître, et donc de le soigner. Ainsi se crée le cercle vicieux, véritable tourbillon qui ne fera que grandir pour tout engloutir.

Sommes-nous responsables de cette cécité? Eh bien, non! Car cette incapacité à voir est une forme d'ignorance.

L'ignorance est dans chaque cellule de notre corps et de notre conscience. Tout comme une goutte d'encre diffusée dans un verre d'eau, elle se dilue pour devenir invisible, mais assombrit malgré tout la vision que nous avons de la réalité. Au pire, elle nous pousse à des actes dont nous allons souffrir encore plus, blessant à nouveau l'enfant déjà accidenté.

Mais, bonne nouvelle, tout comme la souffrance est présente dans chaque cellule de notre corps, les graines de la compréhension éveillée et du bonheur, transmises par nos ancêtres, y sont également présentes. Nous avons une lampe à l'intérieur de nous, la lampe de la pleine conscience, celle qui nous permettra de voir le trouble de l'eau du verre, et que nous pouvons allumer à tout moment. En allumant cette lampe, nous mettons progressivement un terme à l’ignorance et nous prenons conscience que nous avons oublié l'enfant blessé en nous.

Ce n'est qu'à partir de là que nous pourrons ressentir de la compassion pour cet enfant, pour enfin générer l'énergie positive de la pleine conscience et le réparer.

Quelles sont les étapes de ce long chemin? En premier lieu écouter, ensuite cultiver l'énergie, puis démanteler les barrières, et enfin occuper la place.

Tout cela est obscur? Nous allons l'éclaircir.

ÉCOUTER

Lorsque nous parlons d'écouter avec compassion, nous pensons généralement à écouter quelqu'un d'autre. Mais il faut aussi écouter l'enfant blessé en nous, car il a besoin de toute notre attention. Il faut pour cela le laisser émerger des profondeurs de notre conscience et l'autoriser à nous demander notre attention. Si nous sommes attentifs, nous réussirons à entendre sa voix appeler à l'aide.

Pour cela, il faut se poser les bonnes questions:

- me suis-je déjà réellement écouté?

- ai-je réalisé ce que voulais faire?

- suis-je la personne que je voulais être?

- quelles sont mes réactions face à mes émotions? Est-ce que je les vis pleinement? Est-ce que je les cache? En ai-je honte? Est-ce que je pleure facilement, ou au contraire je n'arrive jamais à verser une larme?

- est-ce que je me sens capricieux, insatisfait, ou simplement pas en accord avec ma vie d'adulte?

Toutes ces questions sont nécessaires pour savoir où nous en sommes avec cet enfant et les réponses que nous donnerons seront le point de départ de notre reconnexion avec lui.

L’exercice peut sembler dans un premier temps assez perturbant. En effet, s'asseoir pour entamer une conversation avec l’enfant intérieur peut sembler ridicule, inutile, fou ou incohérent. Cependant, pour entrer en contact avec cet enfant et entendre ce qu’il à dire, il va d'abord falloir se connecter profondément avec le moment présent et le silence.

Le meilleur moyen pour cette connexion est la méditation, et nombreux sont les articles, livres, ou vidéos permettant de découvrir les bases de cette pratique.

Si la méditation n’est pas pour nous, nous pouvons simplement nous replonger dans votre enfance en nous remémorant nos souvenirs, en regardant des photos de nous petit, en demandant à nos parents comment nous étions, en bref en nous rapprochant le plus possible de qui vous étions enfant.

Ensuite, nous devons prendre du recul et embrasser tendrement l'enfant blessé. Nous pouvons parler directement à l'enfant avec le langage de l'amour: "dans le passé, je t'ai laissé seul. Je suis parti loin de toi. Maintenant, je suis là pour toi, je vais t'embrasser. Je sais que tu souffres beaucoup, je vais prendre soin de toi. J'ai été tellement occupé que je t'ai négligé, mais maintenant je sais comment revenir vers toi."

Si l'envie s'en fait sentir, nous pouvons pleurer avec cet enfant. Mais surtout, chaque fois que nous en ressentons le besoin, nous devons nous asseoir et respirer avec l'enfant: "en inspirant, je reviens à toi, en expirant, je prends bien soin de toi."

Nous devons parler à notre enfant plusieurs fois par jour. Ce n'est qu'à ce prix que la guérison peut avoir lieu. En serrant tendrement notre enfant dans nos bras, ce petit enfant qui est resté dans le noir si longtemps, nous l'assurons qu'il ne sera plus jamais seul ni sans surveillance.

Si nous savons revenir vers lui et l'écouter attentivement chaque jour pendant cinq ou dix minutes, sa guérison aura lieu… et la notre aussi!.

Les exercices solitaires sont également propices: lorsque nous marchons, courons, faisons du vélo, de l'escalade…, invitons notre enfant à s'exercer avec vous.

Bien évidemment, lorsque nous contemplons un coucher de soleil, il doit le contempler avec nous.

Ce n'est qu'en pratiquant pendant des semaines, voire des mois, que l'enfant blessé connaîtra la guérison.

Je fais un aparté pour signaler que si notre enfant intérieur a pu souffrir, il en est souvent de même pour celui de nos parents, et même des leurs: notre mère ou notre grand-père ont pu souffrir toute une vie, sans être capables de s'occuper de leur enfant intérieur. Notre propre enfant blessé a donc déjà pu naître sur un champs de ruines. Ainsi, lorsque nous l'écoutons et l'embrassons, nous écoutons et embrassons tous les enfants blessés de nos générations passées, et notre action va tout simplement briser ce cycle. L'enfant intérieur de nos propres enfants pourra ainsi naître dans une prairie verdoyante, ce qui suggère l'importance d'entamer notre guérison le plus tôt possible.

CULTIVER L'ÉNERGIE DE LA PLEINE CONSCIENCE

Notre vraie maison n'est pas dans le passé, elle n'est pas non plus dans le futur. Notre vraie maison est ici et maintenant.

La pleine conscience (mindfulness en Anglais) consiste à porter toute son attention sur le moment présent, de façon ouverte et libre de tout jugement. Cette forme de conscience vigilante peut aussi bien concerner les éléments intérieurs (sensations, pensées, émotions, actions, motivations, etc.) que les facteurs extérieurs du monde environnant, les bruits, les objets, ou bien les événements.

L'énergie de la pleine conscience est celle qui nous aide à reconnaître les conditions de bonheur qui sont déjà présentes dans nos vies. Nombreux sont ceux qui sont vivants mais ne le savent pas, alors que si nous inspirons en étant simplement conscients de cette respiration, si nous écoutons notre cœur en le sentant battre, nous visualisons déjà la réalité de notre vie.

La plupart du temps, les gens ne sont pas vraiment là: leur esprit est occupé par les soucis, les peurs, les colères, ou les regrets, et n'a plus la place pour la conscience du présent. C'est cet état que les psychologues nomment l'oubli de soi: nous sommes là mais nous ne sommes pas là, nous sommes pris dans le passé ou dans le futur, mais nous ne sommes jamais dans le moment présent à vivre pleinement notre vie.

Au contraire de l'oubli, la pleine conscience, c'est quand nous sommes vraiment là, l'esprit et le corps ensemble. Nous inspirons et expirons consciemment, nous ramenons notre esprit vers notre corps et nous sommes enfin dans le moment présent.

Ce n'est qu'ensuite que nous serons en mesure de reconnaître les nombreuses conditions du bonheur, en nous et autour de nous, et surtout cultiver cette fameuse énergie de la pleine conscience. Elle deviendra alors le baume inépuisable de la guérison de notre enfant intérieur.

Mais comment cultiver cette énergie?

La pratique de la pleine conscience doit être agréable, pas un travail ou un effort. Faut-il faire un effort pour respirer, ou pour contempler un coucher de soleil? Bien sûr que non, il nous suffit juste d'en être conscients et d'en profiter.

Je vous propose 4 exercices simples pour cultiver au mieux l'énergie de la pleine conscience:


1- Premier exercice: la Respiration Consciente

Il consiste simplement à identifier l'inspiration comme une inspiration et l'expiration comme une expiration.

Reconnaissez simplement: ceci est une inspiration, ceci est une expiration. Très simple, mais pour cela vous devez ramener votre esprit (j'ai conscience que j'inspire) à votre corps (mes poumons aspirent l'air).

De fait, l'objet de votre attention étant votre respiration, vous concentrez simplement toute votre attention sur elle, et – miracle! - lorsque vous faites cela, le discours mental s'arrête. Vous ne pensez plus, ni au passé, ni au futur. Sans avoir à faire plus d'effort, vous êtes dans le présent!

En pratique, n'interférez pas avec votre respiration. Si votre inspiration est courte, respectez-la. Si votre expiration est longue, accordez-lui le temps. Mais gardez en permanence la conscience de ces 2 mouvements.

Une fois maîtrisé ce premier exercice, vous pouvez l'appliquer à d'autres éléments: buvez un bon café en pleine conscience, c'est la "conscience de la consommation", marchez en vous concentrant sur vos pas, c'est la "conscience du mouvement", etc. Cet exercice n'a pour limites que celles de votre imagination, et… le fait de ne pratiquer qu'une seule pleine conscience à la fois! Je n'inspire pas en avançant le pied gauche et en buvant l'eau de ma gourde filtrante.

2- Deuxième exercice: la Concentration

Pendant que vous inspirez, vous suivez votre inspiration du début à la fin. Si votre inspiration dure trois ou quatre secondes, votre pleine conscience dure également trois ou quatre secondes. En inspirant, je suis mon inspiration tout du long. En expirant, je suis mon expiration tout du long. Du début de mon expiration à la fin de mon expiration, mon esprit est toujours avec mon corps. La pleine conscience est ainsi ininterrompue et votre concentration s'améliore peu à peu.

Supposons que vous inspiriez, puis que vous pensiez: "mince, j'ai oublié d'éteindre la lumière de ma chambre". Il y a une interruption. Essayez malgré tout de revenir à votre respiration, et redevenez votre respiration. Plus vous vous entraînerez, dans une atmosphère calme, moins ces interruptions surviendront. Votre concentration deviendra optimale, votre respiration plus profonde et lente, plus harmonieuse et paisible, naturellement, sans effort.

3- Troisième exercice: la Conscience du Corps

Une fois maîtrisés les 2 exercices précédents, l'énergie de pleine conscience générée par la concentration autour de la respiration va vous servir à étendre cette conscience au reste de votre corps. "En inspirant, je prends conscience de mon corps, en expirant, je prends conscience de mon corps. Je sens que mon corps entier est là."

L'esprit est totalement ramené au corps, les deux devenant une seule réalité.

4- Quatrième exercice: relâcher la Tension

Maintenant que vous êtes conscient de votre corps, vous remarquez qu'il y a de la tension, voire de la douleur, du stress. Ils viennent peut-être d’apparaître, mais ils sont le plus souvent là depuis longtemps, toute une vie peut-être. Et notre esprit, qui n'en a jamais eu conscience, n'a bien sûr pas appris à soulager notre corps.

En position assise, allongée ou debout, il est toujours possible de relâcher la tension. "J'inspire, je prends conscience des tensions de mon corps. J'expire, je demande à ces tensions de quitter mon corps."

La douleur s'estompe, la paix devient possible, et l'exercice peut être pratiqué plusieurs fois par jour, même lorsque vous pratiquez une activité "machinale", la marche, le vélo, la conduite, ou encore la vaisselle, le ménage, l'arrosage…

DÉMANTELER LES BARRIÈRES

Plus nous apprenons à ne pas craindre nos nœuds de souffrance, plus nous acceptons de les laisser circuler jusque dans notre être conscient. Nous commençons à apprendre à les embrasser et à les transformer avec l'énergie de la pleine conscience.

Alors vient le temps de démonter progressivement les barrières qui existent entre notre enfant intérieur et notre réalité du moment. Mais celui-ci peut avoir beaucoup de peur et de colère accumulées après avoir été ignoré, cloîtré si longtemps. Démonter ces barrières ne se fera certainement pas simplement, des blocs de douleur ont toutes les chances de surgir, nous faire souffrir, au point de nous demander si le jeu en vaut vraiment la chandelle. Eh bien oui! Nous devons l'accepter, car il n'y a aucun moyen d'éviter ça.

C'est pourquoi la pratique de la pleine conscience est si importante. Car si nous savons comment générer l'énergie de cette pleine conscience, il devient plus facile, voire apaisant d'inviter ces nœuds de douleur tous les jours et de les embrasser. La pleine conscience est une puissante source d'énergie qui peut reconnaître, embrasser et prendre soin de ces énergies négatives, les amadouer progressivement. Avec le temps, ces émotions, ces tensions, ces graines de douleurs remonteront sous une forme chaque fois plus atténuée que la précédente.

Chaque fois que vous donnez à votre enfant intérieur un bain de pleine conscience, ses bleus et ses bosses s'estompent.

PARTAGER L'ESPACE

D'abord nous interdisions à nos nœuds de douleur de remonter jusqu'à nous. Ensuite, nous avons découvert le remède de la pleine conscience et nous avons appris à les soigner. Enfin, nous les avons autorisés à venir à nous, constatant jour après jour, semaine après semaine, qu'ils étaient de moins en moins douloureux. À tel point qu'aujourd'hui, ils n'hésitent plus à s'inviter de manière impromptue pour devenir des hôtes parfois envahissants. Devons-nous le tolérer? Eh bien oui,...mais!

C'est un peu comme au sein d'une famille nombreuse: le dernier-né a besoin de toute l'attention de ses parents, mais il faut bien que les frères et sœurs existent aussi. Alors, chacun accepte de céder un peu de son espace pour la sérénité de tous.

Partager l'espace est la clé qui permettra aux formations mentales de circuler librement, dans la bienveillance et les étreintes de la pleine conscience, sans pour autant entraver le libre cours des autres sentiments.

Prendre un livre, regarder la télévision, appeler une amie, faire une promenade, inviter des parents, n’empêche pas la maman de s'occuper de son bébé, tout en profitant de la joie de vivre de ses autres enfants.

Il ne faut donc renoncer à rien de ce qui vous plaisait auparavant, mais juste offrir un peu d'espace à ces nouveaux-venus, ces sentiments autrefois douloureux mais que vous avez appris à soulager et qui font partie de ce que vous êtes aujourd'hui.


Alain SUPPINI


"Nous devons écouter l'enfant que nous étions autrefois, l'enfant qui existe toujours à l'intérieur de nous. Cet enfant comprend les moments magiques. Nous pouvons étouffer ses cris, mais nous ne pouvons pas faire taire sa voix."

(Paulo Coelho)

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5 comentários


lucchesefranca208
lucchesefranca208
27 de fev. de 2023

Excellent écrit. Celui-ci nous explique les quatre phases à appliquer pour être dans le moment présent, primordial dans une thérapie. Les autres phases sont très bien expliquées et éclairent des facettes de notre moi profond, elles nous apportent la compréhension et la solution de notre mal-être....Finalement cet enfant, méconnu par la plupart d'entre nous, ne demande qu'à cheminer avec nous, avec tendresse. On se sent presque attendri en pensant à lui... J'aime vraiment cet écrit, il touche l'essentiel de notre être. Merci infiniment pour le temps consacré à cet article puissant et toutes mes félicitations.

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Alain SUPPINI
Alain SUPPINI
27 de fev. de 2023
Respondendo a

Merci beaucoup Franca 🙏

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Alain SUPPINI
Alain SUPPINI
25 de fev. de 2023

Merci beaucoup Fleurbleuelune 🙏

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fleurbleuelune
fleurbleuelune
25 de fev. de 2023

PS : quant à Paulo Coelho, c’est l’un de mes auteurs préférés 🤩

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fleurbleuelune
fleurbleuelune
25 de fev. de 2023

Quel article intéressant, précis, consciencieux et complet ! J’adore 👍

Tu décris Alain si bien toutes les phases, allant du déni à la vraie pleine conscience qu’on ne peut qu’admette l’évidence du travail à faire… en toute conscience. Il n’y a qu’en descendant au plus profond de nous-mêmes avec courage qu’on trouve les solutions pour comprendre et aller mieux. Si tout le monde faisait ce travail , tout le monde irait mieux. Et c’est ce que je fais , c’est pourquoi je vais beaucoup mieux 😃

Débarrassons-nous de tout ce qui est toxique en nous et autour de nous pour enfin nous retrouver!

Gros bisous Alain 😘

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© 2022 créé par Alain Suppini

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